8e Saison (2017-2018)
Cycle de cinéma chinois : De l’écrit à l’écran
Le programme de cette 8e saison du cycle « De l’écrit à l’écran » débute avec trois films qui sont à la fois des grands classiques, des films rares et, chacun à sa manière, des œuvres marquantes de la période d’ouverture après la Révolution culturelle, de la fin des années 1970 au début des années 1980 : un film de 1980 qui fut un succès public, un film de 1984 qui marque les débuts de ce qu’on a appelé la Cinquième Génération, et un film sorti dès 1978 qui représente le renouveau du cinéma d’animation chinois. Le reste du programme est cette année axé sur les années 2000-2010 :- Pour les années 2000, un florilège de quatre films que l’on peut qualifier « d’auteurs », avec un hommage à un cinéaste dont on a peu l’occasion de voir les films à l’affiche, et qui représente un courant un peu à part dans le cinéma chinois, en lien avec des poètes, des écrivains et des musiciens qui partagent les mêmes critères esthétiques : Li Hongqi (李红旗).
- Pour les années 2010, une série de quatre autres films adaptés d’œuvres littéraires par des grands noms du cinéma chinois contemporain, et terminant a priori par ce qui n’est déjà plus que l’avant-dernier film de Feng Xiaogang (冯小刚), mais qui est un petit chef-d’œuvre en soi, plein de surprises et d’innovations esthétiques : « Je ne suis pas madame Bovary » (sous-réserve).